Dans un environnement sensible aux constantes évolutions de marchés, légales, technologiques, modes de consommation, d’ordre éthique, les entreprises doivent s’adapter à leur environnement pour assurer leur survie.
La pression concurrentielle s’étant, depuis la libéralisation et la globalisation rapide des marchés, fortement amplifiée, la performance est un maître-mot tenant une place importante dans le monde de l’entreprise.
Afin de maîtriser tous ces éléments externes, les entreprises doivent se doter d’outils de contrôle et de pilotage multidimensionnel, intégrant ainsi l’environnement dans la mesure de la performance. Cela leur permettra de suivre de manière plus précise ces évolutions, d’en tenir compte dans la stratégie et d’être plus réactif au marché.
L’entreprise a ainsi tout intérêt de veiller à chaque évolution significatif de l’environnement.
Selon R.N. Anthony, “le Contrôle de gestion est le processus par lequel la direction s’assure que les ressources sont exploitées de manière efficiente et efficace pour atteindre les objectifs fixés.
Si l’on s’en tient à la première définition de R.N. Anthony, le contrôle de gestion est un instrument de suivi, le management s’assure par cet instrument que les résultats obtenus sont conformes aux objectifs et moyens. Dans le cas, le management n’aura rien à faire puisque les résultats sont conformes. Sinon, le management pourra mener des actions correctives afin de rétablir la situation.
Le contrôle de gestion doit donc permettre la mesure de la performance, une vision à moyen long terme (budget). La mesure de la performance est une expression peu précise à mon goût, En effet, on peut alors se demander que signifie concrètement? Il désigne de bons résultats mais ne définit pas clairement les indicateurs. La mesure d’une performance économique doit-elle seulement se limiter à des indicateurs financiers, de rendement et productivité tel que sous l’ère Taylorienne?
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